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Montréal, Québec, Canada
Bienvenue à toutes et à tous! Spécialisé en Commerce électronique et en gestion du tourisme et de l'hôtellerie, et ayant eu une expérience enrichissante au ministère du tourisme du Québec au sein du service du marketing électronique, j'ai entrepris de créer ce blog afin de partager de l'information pertinente sur les nouvelles tendances, innovations et actualités du E-tourisme et du E-commerce. Bonne lecture.

Le Web mobile: choisir sa présence et sa stratégie marketing

L’Internet mobile n’est plus de la fiction, les voyageurs utilisent déjà leurs cellulaires pour planifier et réserver vols et hébergement. Ces technologies procurent à leurs utilisateurs commodité, connectivité et géolocalisation. Elles aident aussi les entreprises qui veulent faire le pas vers le marketing mobile à se démarquer. Ceci dit, envisager de construire une présence mobile revient à choisir entre créer une application mobile ou un site Web mobile. Par où commencer?

Est-ce que le «buzz» des téléphones intelligents est justifié?

Selon l’étude «The Mobile Internet Report» de Morgan Stanley, publiée en décembre 2009, la couverture mondiale du 3G prend de l’ampleur et devrait se situer entre 20 et 25% en 2010, pour atteindre 43% en 2014.
Engouement que confirme aussi PhoCusWright, qui prévoit que les réservations effectuées par le biais de téléphones mobiles devraient atteindre 160 millions USD d’ici la fin de l’année. Cette expansion influencera certainement le comportement des utilisateurs de la téléphonie mobile.
En effet, Morgan Stanley estime que les Américains détenteurs de téléphones intelligents passent plus de temps à utiliser quotidiennement leur appareil (60 minutes) que ceux qui détiennent des cellulaires réguliers (40 minutes). Les graphiques 1 et 2 illustrent la répartition de l’utilisation de ce temps pour chaque activité.
Graphique 1
Répartition de l’utilisation du cellulaire aux États-unis – 40 minutes par jour
Source: «The Mobile Internet Report», Morgan Stanley
Graphique 2
Répartition de l’utilisation du iPhone – 60 minutes par jour
Source: «The Mobile Internet Report», Morgan Stanley
L’utilisation du téléphone intelligent est plus centrée sur l’accès aux données que sur les appels, ce qui laisse présager un bel avenir pour la publicité mobile, y compris sur les appareils iTouch et iPad.
En effet, eMarketer projette que la publicité mobile augmentera de 648 millions USD en 2008 à 3,3 milliards USD en 2013. La firme Forrester abonde également dans ce sens et prévoit que le marketing mobile croîtra annuellement de 27% de 2009 à 2014.
Tout comme une adresse sur le Web est devenue un point de contact B2C important, des signes précurseurs indiquent qu’un point de contact adapté à la téléphonie mobile deviendra pertinent.

Construire une application ou un site Web mobile?

Une application mobile est un logiciel téléchargeable et exécutable sur des téléphones intelligents ou d’autres appareils mobiles tels que les iPad et les iTouch, de façon gratuite ou payante. Les applications sont accessibles dans les boutiques d’applications (App Store pour iPhone et App World pour Blackberry) et présentent plusieurs avantages. Elles:
  • fonctionnent même sans connexion Internet;
  • offrent une très bonne interface client;
  • sont rapides et faciles à naviguer;
  • peuvent utiliser les capacités techniques des téléphones intelligents: GPS, appareil photo, vidéos, réalité augmentée… et de ce fait, afficher un contenu riche;
  • une fois téléchargées sur le cellulaire, elles y demeurent disponibles et visibles et ont plus de chances de générer des visites récurrentes;
  • contrairement à un site mobile, elles peuvent générer un revenu si elles sont payantes.
En revanche:
  • elles sont plus coûteuses et chaque plateforme (iPhone, Android, Windows mobile…) nécessite une programmation spécifique;
  • elles dépendent de l’approbation des magasins de téléphones cellulaires pour le lancement et pour les changements effectués ultérieurement;
  • leur entretien est coûteux, car tout changement doit se faire pour chaque plateforme de navigation;
  • les modifications effectuées sur les plateformes de navigation (iPhone, Android…) imposent parfois des mises à jour aux applications;
  • les magasins d’applications prennent une commission sur les ventes réalisées sur les applications.
La plupart des experts conviennent qu’il est préférable de débuter avec un site Web mobile pour les raisons suivantes:
  • Il fonctionne sur plusieurs navigateurs à la fois (iPhone, Android, Symbian, Windows) et ne nécessite aucun téléchargement.
  • Il peut être créé à partir de certaines plateformes de type do-it-yourself comme WordPress et Drupal, grâce à des fonctionnalités simplifiées.
  • Il est adapté aux petites entreprises qui n’ont pas la notoriété suffisante pour inciter les clients à faire la démarche de chercher l’application de l’entreprise dans le magasin d’applications.
  • Des hyperliens peuvent le connecter à d’autres sites, alors que les applications sont rarement connectées entre elles.
  • S’il est bien conçu, un site Web mobile peut être facilement converti en une application ultérieurement.
  • Il bénéficie de l’indexation des moteurs de recherche.
  • Il permet de joindre tout utilisateur de téléphone disposant d’un forfait de données. À l’opposé, une application ne permet d’atteindre que la population de possesseurs de téléphones intelligents équipés d’un système d’exploitation donné. De ce fait, la taille du marché potentiel est plus grande.
La convivialité et la simplicité d’utilisation d’un site Web mobile ou d’une application ne sont pas négligeables et améliorent la navigation des clients par le biais du cellulaire.
À titre d’exemple, l’Office de tourisme de Montpellier vient de lancer la version mobile de son site, qui est simplifiée en six rubriques et qui complète son site Internet.
Source: montpelliernow.mobi/

Après un site Web mobile, que faut-il faire?

Après son lancement, le site Web mobile devient le point d’ancrage de toutes les activités ultérieures du m-marketing telles que la messagerie téléphonique, les Google mobile ads ou les concours promotionnels mobiles (mobile sweepstakes).
Une stratégie m-marketing débute notamment en construisant une liste mobile opt-in ou m-list. Pour ce faire, il faut solliciter le consentement et l’adhésion des clients à travers une campagne courriel ou par des initiatives dans les médias sociaux. Une attention toute particulière doit être portée à la sécurité des données et à la protection de la vie privée.
Si vous êtes à l’aise avec l’affichage publicitaire sur votre site Web, concevoir une campagne Google mobile ads peut être une étape à intégrer à votre stratégie m-marketing.
À plus long terme, il peut devenir pertinent d’intégrer des éléments plus sophistiqués tels que les services de géolocalisation et les applications mobiles mais avant cela, pourquoi ne pas envisager des partenariats avec des constructeurs d’applications déjà établis plutôt que de réinventer la roue tout seul?
L’application OpenTable, par exemple, dédiée à la gestion des réservations des restaurants, offre à ceux-ci la possibilité d’être présents dans une base de données accessible par le biais d’un cellulaire sans avoir à développer leur propre application.
Un autre exemple de plateforme fédératrice serait l’application StubHub, spécialiste en billetterie pour des évènements sportifs et des concerts musicaux.
Source: itunes.apple.com
L’accès permanent à Internet, les services basés sur la localisation, la possibilité d’effectuer des transactions en tout temps et la personnalisation du contenu sont autant d’atouts offerts par la téléphonie mobile intelligente. Dans le cas où votre entreprise n’est pas encore en mesure de passer à l’étape d’intégration d’une stratégie «mobile friendly» à votre politique médias, il demeure pertinent d’y réfléchir et de surveiller les évolutions technologiques s’y rattachant dès maintenant.
Source : www.veilletourisme.ca

Google s'intéresserait au e-tourisme

Google serait intéressé par le rachat de l'entreprise américaine ITA Software, société fournissant des solutions de réservations et de recherches de vols sur Internet aux moteurs de réservation des agences en ligne, selon Bloomberg.


Contacté par Relaxnews, le service de presse du géant de l'Internet se refuse à tout commentaire.

D'un montant d'un milliard de dollars, ce rachat deviendrait le troisième plus gros investissement de Google après Youtube et Doubleclick. Si l'opération se finalise, le géant américain de l'Internet pourrait concurrencer notamment Microsoft qui a lancé il y a moins d'un an son moteur de recherche dédié au tourisme, Bing Travel.
Google multiplie ces dernières semaines les expérimentations dans le tourisme. Il a lancé en mars dernier un test permettant de comparer directement sur Google Maps les différents hôteliers dans une ville. Accessible uniquement à un petit nombre, cette expérience autorise lors de la recherche d'hôtels pour une destination donnée d'accéder aux tarifs proposés par les établissements et non plus uniquement à l'adresse.
Concrètement, lors d'une recherche d'hôtel dans une ville, l'internaute se voit proposer comme d'habitude la liste des adresses du secteur. Avec cette nouvelle fonctionnalité, il accède non seulement au nom de l'hôtel, à sa localisation, à sa classification mais aussi, et la nouveauté est là, aux tarifs proposés par l'établissement selon sa date de séjour. Cette version de Google Maps s'enrichit en effet d'un critère de sélection supplémentaire: la date d'arrivée à l'hôtel.
Le touriste peut sélectionner le lieu qu'il préfère non plus seulement à partir de son emplacement, mais aussi en fonction de ses prix. La fonctionnalité développée par Google doit permettre aussi de réserver plus facilement en cliquant sur le nom de l'hôtel ou sur les liens sponsorisés affichés (moteurs de recherches ou voyagistes). L'internaute est alors renvoyé vers la page de réservation de l'un ou l'autre.
Un peu avant, lors des Jeux Olympiques de Vancouver en février, Google avait encore utilisé Google Maps pour permettre aux visiteurs d'organiser plus facilement leurs déplacements entre les différents sites des épreuves. Des cartes locales et les horaires des bus avaient été fournis aux touristes.
Source : www.technaute.cyberpresse.ca/

"Le stratagème de Facebook pour s'emparer d'Internet"


Mark Zuckerberg, fondateur et PDG du réseau social a annoncé de nouvelles technologies qui renforceraient le contrôle des données personnelles. > Cet article a été publié sur le site de l'hebdomadaire américain le 22 avril
Mark Zuckerberg doit lire Newsweek.Depuis des mois, ce blog réclame qu’il rende public le graphe social — les données collectées par Facebook décrivant notre réseau d’amis, nos goûts et autres — et le partage avec le reste du monde. En février déjà, nous écrivions : "si la concurrence stimule effectivement l’innovation, les systèmes fermés la tuent… Personne aujourd’hui n’est en position de disputer à Facebook son efficacité à exploiter le graphe social, car il est le seul à en détenir la clé, et pour l’heure, nous sommes tous enfermés à l’intérieur".
Facebook a toujours la clé, mais hier, il a soudain ouvert les portes en grand. Lors de la conférence annuelle des développeurs indépendants, Zuckerberg, CEO de la firme, a pris la parole pour annoncer des nouvelles technologies à même de changer la donne. La première est un bouton "j’aime" à l’échelle du web. À présent, quel que soit le site que l’on aura visité, de CNN à IMDb, on pourra indiquer que l’on a "aimé" tel ou tel petit bout de contenu qu’on y a trouvé. La connexion est automatiquement et intelligemment intégrée dans son profil Facebook — si vous avez aimé Eternal Sunshine of the Spotless Mind, Facebook comprend qu’il s’agit d’un film, et l’ajoute automatiquement à votre liste de films favoris. Voici donc Facebook le coucou et son petit nid bien rempli, qui va ramasser la moindre bribe d’information concernant ses utilisateurs, quel que soit sa provenance sur le web.
La deuxième technologie, la plus importante, c’est le "graphe ouvert". Pour la première fois, les développeurs indépendants pourront disposer d’un aperçu du graphe social de Facebook, et l’utiliser sur leurs propres sites. En pratique, cela signifie que, si vous vous rendez sur le site de CNN, CNN peut vous afficher une liste d’articles que vos amis ont indiqué avoir "aimé" — même si vous n’avez jamais mis les pieds auparavant sur le site, et encore moins créé un compte et vous y être enregistré.
La portée de cette annonce dépasse largement tout ce qui a pu arriver sur le web depuis très, très longtemps. L’information a été abondamment commentée. Sur le blog TechCrunch, un post titrait : "On dirait que Facebook vient de prendre le contrôle de l’internet". Chez Slate, le journaliste spécialisé technologie Farhad Manjoo déclarait pour sa part "Facebook va tout bonnement prendre la place du web".
Les implications sont énormes et Twitter, entre autre, a des soucis à se faire. Au cours de sa présentation, Zuckerberg s’est montré relativement critique à l’égard du service de micromessagerie et du "flux" incessant de tweets : "Le flux est éphémère. On poste quelque chose dans le flux, il y restera quelques heures, un certain nombre de gens pourront le lire, puis pour ainsi dire il disparaît. Quant aux services qui consomment ce flux, ils n’établissent pas réellement de connexion entre vous et, ils ne comprennent pas réellement la relation sémantique qui existe entre vous et la connexion que vous avez établie".
Facebook va à présent constituer et stocker cette "relation sémantique", chose aussi séduisante que terrifiante. Les informaticiens envisagent depuis longtemps un Web 3.0, un Internet plus intelligent et qui comprend la différence entre objets, individus, lieux, animaux, etc. En d’autres mots, ordinateurs et serveurs devraient savoir que Eternal Sunshine of the Spotless Mind est un objet, qu’il s’agit d’ailleurs d’un film, et plus précisément d’un film de Michel Gondry, qui est une personne. Aujourd’hui, quand un ordinateur voit les mots "Michel Gondry", il ne voit que des lettres, quelconques, dépourvues de toute signification. Facebook veut tout changer – et c’est très bien. Mais la firme veut également être propriétaire de cette information — ce qui est inquiétant. Comme le dit Dave Winer, gourou du web, "Facebook a l’intention d’être le fournisseur d’identité du web. Une entreprise ? Impossible… Bill Gates lui-même n’a pas eu l’audace de le proposer". Gates n’a peut-être pas osé, mais de toute évidence, Zuckerberg oui.
Source : www.nouvelobs.com

Les conférences virtuelles changeront-elles le visage du voyage d’affaires?


E-commerce : pourquoi vos clients ne sont pas des imbéciles.


Vous pensez peut-être que la vente en ligne n’est qu’un jeu d’enfant? On met un produit sur le net, on lui colle un prix et on choisit une jolie petite photo que l’on place juste à côté du bouton « Ajouter au panier »…, et le tour est joué ?! Si votre boutique en ligne existe déjà depuis quelque temps, vous avez dû vous apercevoir que ce n’est pas aussi simple. Pour vendre un produit en quantité intéressante, il faudra vous creuser davantage les méninges, voici pourquoi :


Pour d’étranges raisons, beaucoup de gens pensent que vendre sur Internet n'a rien à voir avec les pratiques commerciales classiques. C'est une erreur. Internet n'est qu'un outil additionnel - quoique très puissant. Vendre sur un site e-commerces’apparente à la vente dans un magasin traditionnel, et il est conseillé d’y mettre en application les mêmes techniques de vente classique à cinq étapes.




En simplifiant considérablement, ces étapes comprennent :



1. Accrocher le client potentiel en faisant appel à des notions de psychologie  élémentaires.
2. Mettre en avant un argument qui séduit le client. 
3. Justifier cet argument (répéter les étapes 2 et 3 si nécessaire). 
4. Faire une offre. 
5. Amener  le client à formuler par lui-même les conditions de vente qui vous seront favorables.
Les étapes 2 et 3 sont fondamentales. Ne pas les appliquer correctement  pourrait sérieusement nuire à vos ventes.

La plus grave erreur que vous pourriez commettre lorsque vous mettez en avant les avantages d’un produit en les justifiant, est de prendre vos clients potentiels pour des imbéciles.
La plupart des gens ne considèrent-ils pas tout ce qui est écrit comme vrai ?  Et d’autant plus si c’est sur Internet, n’est-ce pas ?  Et bien, détrompez-vous!
En réalité, c’est justement parce que c’est sur internet que les consommateurs se méfient davantage : la faute aux nombreux vendeurs sans scrupule qui, profitant du fait qu’il n’y ait aucun frais indirect lorsque l’on crée une boutique sur la toile, y vendent tout et n’importe quoi.
Suivez l’actualité avec votre boutique : Modifiez l’aspect de votre boutique en fonction de l’actualité et des fêtes comme vous le feriez pour la décoration d’une vitrine. Vous montrez ainsi que votre boutique est vivante. Cela inspire confiance aux visiteurs.

Ces vendeurs sans scrupules (s’autoproclamant très souvent commerçants affiliés) ne croient pas en leur produit. Ils prennent  tout simplement leurs clients pour des imbéciles en les incitant à acheter un produit qu'eux-mêmes n'achèteraient pas. 
Ils ne persuadent pas leurs clients, ils leur mentent. Ils ne les convainquent pas, ils les bernent.
Ne mettez jamais sur le marché un produit dont vous ne croyez aux vertus. Si vous êtes assez malhonnête pour proposer un produit que vous n’achèteriez pas vous-même, il ne vous reste qu’à  mettre la clef sous la porte et à changer de métier.

 ShopFactory facilite la création et l'administration d'une boutique en ligne, des connaissances en programmation ne sont pas forcément nécessaires. 

De nombreux commerçants sont tentés de prêter à leurs produits des vertus exceptionnelles qu’ils inventent parfois de toute pièce, et ce, dans le seul but d’évincer la concurrence, ou du moins, d’essayer de faire aussi bien qu’elle. Ils commettent une grave erreur. Si vos concurrents se permettent de mettre en avant ces avantages avec autant de conviction et que ces avantages sont bel et bien fondés, c’est que leur produit est véritablement plus performant que le vôtre. Et il est alors évident que leurs affaires seront plus juteuses que les vôtres. Vous avez donc meilleur temps de vous consacrer à l’amélioration de votre produit.
Très souvent pourtant, ces revendications ne sont autres que de la poudre aux yeux. Si votre produit est le meilleur, n’hésitez pas à le faire savoir. Dans ce cas, vos clients potentiels seront ceux-là qui ont été appâtés et dupés par les offres alléchantes mais trompeuses de vos concurrents. On leur a promis la lune, ils n’y mettront  jamais les pieds. Vos clients seront désormais ces clients qui ont été bernés par les promesses mensongères de vos concurrents.
Gagnez la Confiance en tenant vos Engagements Soyez honnête avec vos clients et ne vous engagez pas si vous n’êtes pas sur de pouvoir tenir vos promesses. Gagnez la confiance de vos partenaires pour établir un partenariat de longue durée.

Pour vous démarquer de vos concurrents (et de la plupart des commerces en ligne), il vous suffit  de mettre en application les deux recommandations suivantes:
1. Présentez au consommateur les vertus/qualités de vos produits. 
2. Assurez-vous que les vertus /qualités énoncées  sont conformes au potentiel réel du produit.
Et voila ! C’est dans la poche. En suivant ces simples recommandations, vous devancerez toute concurrence. Mieux encore, plus vos adversaires redoubleront d’efforts pour imaginer de nouvelles vertus illusoires, meilleures seront vos ventes.
La simplicité est gage de qualité. Et la vérité finit toujours par gagner…
 
 Les témoignages de vrais clients sont bien plus efficaces que la publicité. Un acheteur potentiel fera davantage confiance aux avis d' autres acheteurs qu’à la réclame. L'être humain adore donner son avis, profitez-en pour attirer l'attention sur vos produits et utilisez la critique pour doper vos ventes.

Source : E Commerce Pratique

Les Géo Wikis combinés à la réalité augmentée, au service du tourisme


La réalité augmentée pourrait changer notre façon de voyager en nous permettant d’être mieux renseignés une fois rendus à destination, mais pourrait-elle nous servir avant notre départ?
N’importe quel guide de tourisme d’aventure vous dira que ce qui compte avant tout est de gérer les attentes des clients (et de leur en donner plus ensuite).  Les organisations de gestion de la destination devraient veiller à ce que leur publicité corresponde à la réalité de la destination et que les expériences soient à la hauteur des attentes des touristes.
Il existe de plus en plus d’outils nous donnant la possibilité de gérer nos attentes.  Il y a des guides sur mesure, comme Off Beat Guides, qui créent un PDF (que vous recevez par courriel en quelques jours) selon vos dates de séjour et vos préférences de voyage.  Et si nous pouvions connaître l’essence d’un lieu avant même d’y être physiquement? À cet égard, le projet Visible Past (VPP) – mis sur pied par l’Université Purdue – semble très intéressant.  Le VPP a pour but « d’améliorer la recherche ainsi que l’enseignement en classe et dans les musées en exploitant les attributs spatiaux et temporels implicites de l’information ». Bon, d’accord, passer d’un guide PDF à un wiki géographique peut sembler audacieux, mais soyez patients.
Le projet Visible Past combine réalité virtuelle, informations géodépendantes et l’approche wiki (de Wikipedia, que nous connaissons tous).  Les données du wiki géographique ou gwiki, sont liées à des sites et sont horodatées – ce qui permet au système de recréer des situations historiques. Par exemple, un utilisateur peut se promener dans le Forum romain tel qu’il était en 400 apr. J.-C. ou Omaha Beach en 1944.
Actuellement, on le présente comme « une toute nouvelle façon d’enseigner l’histoire ». Or, je crois qu’il pourrait également servir au tourisme.  Je ne pense pas qu’il éliminera les voyages réels – mais que dire des foires commerciales ou des musées?
Si, grâce à ce genre de technologie, une destination, comme le Groenland, pouvait faire sentir à des touristes éventuels la joie d’une excursion en traîneau à chiens ou la magie d’une aurore boréale, peut-être ces touristes seraient-ils plus tentés de visiter ce pays.
Bien sûr, pour l’instant, les musées peuvent utiliser cet outil pour mettre en valeur leurs expositions ou les différents sites, pour redonner vie à leur histoire ancienne.
Source : www.veilletourisme.ca

Clin d’œil – Publications papier… en ligne!



Saviez-vous qu’il existe des outils pour mettre en ligne vos brochures papier de façon très élégante et gratuitement – ou à peu de frais? Vous pouvez désormais éditer sur Internet le dépliant de votre hôtel, de votre région ou un magazine sans qu’il soit un lourd document PDF difficile à consulter.
Calaméo est un exemple de site qui permet de créer des publications interactives à partir d’un fichier PDF. Il en résulte un document électronique interactif consultable à partir d’un ordinateur et capable de recréer l’impression de lire un document papier: feuilleter les pages, marquer celles que l’on souhaite retenir et agrandir l’affichage.
Le résultat final est très agréable, et le service de base, gratuit. Pour des options plus avancées, il y a des frais.
Le service génère un lien Internet vers votre publication que vous pouvez mettre sur votre site Web, envoyer par courriel à vos clients, publier sur Facebook ou Twitter, etc. Ce lien ne nécessite aucune capacité de stockage et est toujours facile d’accès. Calaméo vous fournit des statistiques de lecture, des rapports d’audience et d’autres fonctionnalités pour mesurer l’efficacité de vos publications.
Dans le cas où cette publication remplace un envoi postal, c’est toute une économie de coûts d’impression, de distribution et de logistique.
Les sites suivants offrent des services similaires:
www.yudu.com 
www.pagegangster.com
www.easybcom.com
Pour quelles raisons n’en profiteriez-vous pas?
Source : www.veilletourisme.ca

Votre cabine d'essayage virtuelle


En e-marketing, le sujet de l’utilisation de la réalité augmentée dans le développement des marques sur internet est d’actualité. Pour ceux qui ne connaissent pas la réalité augmentée, il s’agit de développements technologiques qui nous permettent de superposer des objets en 2D ou en 3D pour nous donner l’impression que nous les voyons réellement et en temps réel. L’agence Zugara, expert en la matière propose une application unique en son genre.
En effet, en juin dernier, l’agence a lancé une application qui a engendré un buzz incroyable dans le monde de la mode et du web, l’application fashionista. Le principe de cette application, est d’associé le principe de la réalité augmenté avec un capteur de mouvements pour permettre aux internautes d’essayer virtuellement les vêtements. Pour ce faire, il faut suivre 3 étapes que nous vous proposons de découvrir grâce à la vidéo ci-dessous:
Vous pouvez tester cette application sur le site de vente en ligne: www.tobi.com Toutefois, il vous être équipé d’une imprimante et d’une webcam. Mais c’est une application très ludique, qui vous permet à la fois de partager vos essayages avec vos amis via Facebook et Twitter mais également d’acheter les produits que vous avez essayé ! Si vous ne disposez pas de webcam, ni d’imprimante, vous pouvez toujours vous connecter sur le Fashion Simulator du site www.modeactually.com
Cette nouvelle technique est révolutionnaire, mais elle remplacera jamais la bonne et vieille traditionnelle cabine d’essayages.
Souce : www.webandluxe.com